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AFRICA PROD FEST : TOUT LE MONDE WANDA SUR LA PREMIERE EDITION

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La première édition de l’Africa Prod Fest s’est clôturée à Kribi ce dimanche 24 novembre, jour où les derniers participants ont quitté la cité balnéaire. Le pari de l’évènement était de réunir des djs, beatmakers, producteurs de musique, éditeurs pour partager les expériences de travail dans le but d’améliorer les esthétiques du son africain, afin de produire à l’avenir des contenus plus compétitifs, plus rentables à l’échelle planétaire. Et l’on peut dire que le défi de la première édition a été réussi.

Tout le monde, participants et speakers, a wanda sur la belle énergie de cette première édition. Wanda – qui vient de wonder en anglais – au Cameroun dans le camfranglais signifie la surprise. « L’APF acte 1 aura été une belle surprise malgré tous les challenges », comme nous l’a confié Paola Ghislaine Yoko, coordonnatrice générale du festival.

Plusieurs pays ensemble pour la beauté du son africain

La bonne ambiance de la cérémonie d’ouverture en présence des autorités locales, donnait déjà une photographie de l’esprit de ce festival, le premier dédié à la formation au Cameroun. Autour de l’artiste Blick Bassy qui en est le promoteur, plusieurs professionnels venus de Corée du Sud, de France, d’Allemagne, d’Angleterre, de la Centrafrique, du Gabon, du Congo, du Rwanda, du Burundi, du Kenya, du Togo, du Gabon, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire et bien sûr du Cameroun.

Expériences en partage

Avec un micro, des enceintes sonores, un ordinateur, pendant les 2 premiers jours à la villa bleue, les sessions de partages d’expérience en plénière ont permis à certains de montrer leurs méthodes de travail, cas pratique à l’appui : enregistrement du son (instruments et voix), types de micros, logiciels comparés, traitement du son, édition de pistes et mixage, utilisation de plug-ins, mastering. Ces différentes thématiques abordées par des speakers de différents pays, ont permis à l’ensemble de la centaine de participants, de voir les similitudes et les particularités de leurs façons de travailler : Romain Jovion au synthé-pad et Arno de Cazanove au synthé et à la trompette (ils sont les musiciens de Blick Bassy), ont créé forte sensation, avec notamment l’eRae, synthé-pad nouvelle génération de Romain. Krotal, rappeur et surtout ingénieur de son, Yohann Padel, ingénieur de son, Dharill Esso, producteur et beatmaker, Hit Sound du Nigeria, beatmaker, Fancy Fingers le guitariste, producteur du groupe kényan Sauti Sol, Dafe l’un des producteurs de la star du rap ivoire Didi B, la dj et productrice camerouno-néozélandaise Estère, la batteuse et productrice germano-camerounaise Philo Tsoungui, les producteurs coréens Besisi et Silly Silky – accompagnés par Lea D Kwon, A&R chez CTGA, la maison qui a fondé la K-Pop, l’ingénieur de son camerounais Ekie Bozeur entre autres, ont ouvert la fenêtre sur leurs skills, leurs parcours inspirants et leur vision. Côté participants également, des artistes et producteurs de grands talent et parcours avaient répondu à l’appel à candidature : Joyce Babatunde, Andjami qui signe plusieurs prods de Lydol, ou encore Valery Siewe A.k.a. Repthill, du studio Squad Room – c’est là qu’a été produit l’entêtant « Coller La Petite » du rappeur Franko.

Un programme chargé

Le programme était donc simple : sessions pratiques en journée à la villa bleue et les performances artistiques le soir juste après le dîner, avec entre autres Estère, Philo, Frank Ngouma, Scienty Ekoro, 2B Francky des groupes de Mbole et de danses traditionnelles de Kribi.

Dans le cadre du festival, en présence de l’Ambassadeur de l’UE au Cameroun et en Guinée Equatoriale, Jean Marc Chattaigner, du directeur régional de l’Unesco en Afrique centrale Paul Coustère, Margaux Demeersseman, attachée régionale musique à l’Ambassade de France en Côte d’Ivoire, entre autres, il y a eu également une session de transmission au bénéfice des élèves de quelques collèges et lycées de Kribi, avec les interventions de Romain Jovion, Hit Sound, Estère sur la production musicale, Bonas Fotio pour le podcasting. Un riche moment de vives interaction avec les plus jeunes dont le talent et la curiosité dans la musique étaient perceptibles. Michael Turbot a également parlé à ces jeunes de l’impact de l’IA sur la création musicale. Responsable innovation et nouveaux usages chez Sony en France, Michael a fait des prises de paroles captivantes également en plénière et durant sa keynote de fin, sur l’opportunité que pourraient être les toute nouvelles technologies pour le développement de l’industrie musicale.

L’Africa Prod Festival du réseautage

L’APF a également été le lieu d’un café de discussion entre les entrepreneurs africains des Industries Culturelles et Créatives, les autorités administratives du département de l’Océan, et l’ambassadeur de l’UE, le directeur de l’Unesco, l’attachée régionale musique auprès de l’ambassade de France en CI, institutions qui accompagnent le festival. Avec des prises de parole de la camerounaise Dj Raj, la manageuse ivoirienne Nesmonde Dokoui, Didi Toko le directeur du DOMAF, Tony Mefe le directeur du salon Escale Bantoo, Serge Maboma le promoteur du laboratoire musical de Bastos, ainsi que l’intervention d’une des bénévoles qui a saisi l’occasion pour exposer aux autorités les misères que vit sa communauté dans la forêt, à cause de certains projets de développement.

A chacun son logiciel

A partir du quatrième jour, les groupes se sont créés entre participants et speakers, en fonction de leurs logiciels habituels, ou de leurs domaines d’intérêt. On a eu un groupe pour l’édition, conduit par Marcel Chang qui travaille chez Peer Music France. Les techniciens de son radio et tv – Balafon Media, Sweet FM, Canal 2, se sont mis ensemble, pareil pour les techniciens du son live, qui ont d’ailleurs coordonné l’installation du son des performances artistiques au Likoda Studio pour la suite du festival, notamment le magnifique concert donné par Blick Bassy. Avec Romain Jovion et Arno de Caseneuve, il a parcouru son répertoire, de ses classiques jusqu’à son dernier album « Madiba », qui rappelle à l’humain l’urgence de la préservation de l’eau en particulier et de la chaîne du vivant en général.

L’ambiance du soir a été également étoffée par le défilé de mode, proposé par les créateurs Brisse Toukam, Christian Siakam, autour de l’upcycling comme solution pour sauver la planète de la pollution vestimentaire. Les designers Sky Day et Cris l’Italien ont également réalisé un shooting sur la plage, avec une collection sur le même thème. Silly Silky, Besisi, Lea, Estère, Philo, ont joué le jeu dans la peau de mannequins.

Une librairie musicale en vue

On a vu se former de vraies équipes, semblables à des équipes de football, autour des logiciels Pro Tools, Logic Pro, Cubase, Ableton Live, et surtout le très populaire et accessible Fruity Loops qui a réuni le plus d’aficionados. Chaque groupe, leadé par les speakers, devait proposer un beat produit sur place, mais aussi une version revisitée du titre « Je Wanda », populaire au Cameroun, écrit et composé en 2007 par Blick Bassy pour le collectif Rap Conteurs – Krotal, BigBzy, Danielle Eog, Bantu Pô Si. Les résultats partagés en plénière ont donné lieu à des scènes de liesse et de transe particulièrement chaudes dans la salle, et même le soir autour du dîner au Likoda Studio.

Ces productions en cours seront ainsi le premier chantier de l’Africa Prod Fest en vue de la mise en place de la librairie musicale. Une plateforme où toute personne ou entité cherchant de la musique pour tout type d’usage dans l’industrie audiovisuelle ou du divertissement, pourra trouver du contenu africain de qualité, et diversifié.

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SABRINA: DE BAFOUSSAM AUX OREILLES MONDIALES, LA FLAMME D’UNE EXPORTATRICE DE LA MUSIQUE CAMEROUNAISE

« aujourd’hui mon label et moi sommes déterminés à exporter la musique de notre pays ».

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En 2024, elle sortait son EP « Unstoppable », un premier projet qui portait l’énergie qui l’accompagne depuis le début : la détermination d’une jeune fille camerounaise que la musique passionne depuis toute petite. Depuis son engagement sous le label Afrobit Productions en 2020 aux côtés d’artistes comme son collègue Martins, Sabrina Wamba connue sous le nom d’artiste Sabrina Love, a bien évolué. Entre autres, nomination aux Canal2’or, prestation aux Trace Awards, performance au programme Global Spin de la Recording Academy (Grammy Awards), networking international, allant au contact d’artistes comme Tems, collaborations nationales avec Kocee, Stanley Enow, et même un featuring avec D Smoke, rappeur américain vainqueur du télécrochet Rythm & Flow, inspiration américaine de La Nouvelle Ecole. En septembre 2025 est sorti son nouvel album « Freely » qui symbolise une nouvelle étape dans la carrière de celle qui est déterminée à exporter la musique camerounaise sur la scène mondiale. Dans ce sujet vidéo, elle a répondu à nos questions en marge de l’une des soirées d’écoute du projet, à Douala – son label en a organisé également à Yaoundé, Johannesbourg, Lagos aussi.

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OUSMANE DEMBÉLÉ SACRÉ BALLON D’OR 2025 : COMME GEORGE WEAH EN 1995

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Le 22 septembre 2025, au Théâtre du Châtelet à Paris, le footballeur français d’origines sénégalaise et mauritanienne, Ousmane Dembélé a remporté pour la première fois de sa carrière le Ballon d’Or hommes, devenant le sixième joueur français à recevoir ce prestigieux trophée, le premier depuis Karim Benzema en 2022. Il est arrivé devant l’espagnol Lamine Yamal et le portugais Vitor Ferreira « Vitinha ». La catégorie féminine du Ballon d’or a été remportée par Aitana Bonmatí qui poursuit son règne. La milieu de terrain du FC Barcelone et de la sélection espagnole remporte son troisième Ballon d’Or consécutif.

C’est une saison tout simplement monumentale qui permet à Dembele de décrocher cette distinction. Avec le Paris Saint-Germain, Dembélé a non seulement remporté la Ligue 1 et la Coupe de France, mais il a surtout joué un rôle clé dans la première victoire de l’histoire du club en UEFA Champions League. Il termine devant l’espagnol Lamine Yamal, et le portugais Vitor Ferreira « Vitinha », respectivement deuxième et troisième. Lors de cette saison 2024-2025, Dembélé a inscrit 37 buts et délivré 15 passes décisives toutes compétitions confondues. Sous la direction de Luis Enrique, qui lui a donné une liberté tactique et un rôle central dans l’attaque, Dembélé a su transformer ses qualités naturelles en une efficacité redoutable.

Le récit d’une renaissance

Le chemin vers ce trophée n’a pas toujours été linéaire pour Dembélé. Les blessures, les doutes, les attentes parfois trop grandes : au FC Barcelone, il a souvent été admiré pour son talent brut, mais critiqué pour son irrégularité. Depuis son arrivée à Paris en 2023, il a lentement reconstruit sa confiance, sa condition physique, et son rôle dans l’équipe. Une équipe qui a aussi beaucoup gagné au bout de sa formidable saison : Trophée Yashin (meilleur gardien) : Gianluigi Donnarumma (PSG), Trophée Johan Cruyff (entraîneur de l’année) : Luis Enrique (PSG), Club de l’année : Paris Saint-Germain chez les hommes.

Une victoire pleine de symboles

Cette distinction incarne un message d’espoir : celui qu’un joueur peut, malgré les obstacles, les blessures, les périodes de doute, revenir au sommet. Et pas seulement revenir, mais s’imposer comme le meilleur de tous. Dembele Ballon d’Or renforce le prestige du PSG sur la scène européenne, montrant que le club peut non seulement attirer les grandes stars, mais aussi les transformer en légendes. D’origines mauritanienne et sénégalaise, Ousmane Dembele est, après George Weah, le deuxième footballeur noir à remporter le précieux prix. En 1995, George Weah écrivait une grande page d’histoire. L’attaquant du Paris Saint-Germain – oui le PSG ! – puis du Milan AC, décroche le Ballon d’Or après une saison éblouissante. Au-delà de son talent, c’est son parcours atypique qui frappe : originaire d’un Liberia alors en proie à la guerre civile, il devient le premier – et jusqu’ici le seul – Africain à recevoir la plus prestigieuse distinction individuelle du football. Pendant longtemps, des footballeurs noirs comme Samuel Eto’o ou récemment Sadio Mané avaient été proches du sacre, mais jamais récompensés. A la fin de la cérémonie, dans une vidéo devenue virale sur la toile, la mère d’Ousmane Dembele a célébré le trophée de son fils comme une victoire de l’Afrique.

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BRENDA BIYA : « JE NE VOTERAI PAS POUR PAUL BIYA. JE N’AI PLUS DE FAMILLE. PAUL BIYA FAIT SOUFFRIR TOUTE UNE NATION DEPUIS DES ANNÉES ».

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La rappeuse « King Nasty », nom d’artiste de Brenda Biya, fille du Président de la République Camerounais, candidat pour un huitième mandat à presque 93 ans, s’est lâchée une fois de plus dans une énième vidéo sur ses réseaux sociaux. La fille de Paul Biya et Chantal Biya qui a régulièrement fait des sorties sur les réseaux sociaux pour dévoiler des tranches de la vie privée de la famille présidentielle et son entourage, monte d’un cran : elle renie sa famille, révèle que le Directeur de cabinet Civil lui aurait dit qu’elle va mourir d’overdose de drogue, et qu’à l’occasion de l’élection présidentielle à venir, elle ne votera pas pour son père qui dit-elle, « fait souffrir toute une nation depuis des années ». Voici la transcription intégrale de ses propos tenus dans ces récentes séquences vidéos. 

« Je sais, parfois… c’est assez…

parfois, c’est fatigant.

Parfois, ça ne sert même plus à rien de se débattre ou de se battre pour quoi que ce soit.

Je viens d’appeler un oncle que je considérais, quelqu’un que j’ai toujours considéré dans ma vie, dans le sens où il a toujours été correct envers moi. Certes, je ne croyais pas que c’était la famille ou qu’il m’aimait trop, mais il a toujours été correct envers moi.

Je viens d’appeler le directeur de cabinet au téléphone, et vous savez c’est quoi la dernière chose qu’il m’a dite ?

« Tu vas overdoser et tu vas mourir. »

Donc moi, je suis ici dans ma chambre, je suis ici en Suisse en train de me demander 40 000 choses. Je suis en train de me demander : qui est derrière ça ? Qui essaie de me tuer ? Pourquoi on veut absolument que je meure d’une overdose ? Pourquoi on me refuse de tout ?

Pourquoi chaque fois que je demande, je dis : « Je suis suicidaire, je ne suis pas bien ici, je ne veux pas être ici », pourquoi on ne m’écoute pas ?

La chose la plus difficile, ce n’est pas de se rendre compte que tout le monde veut ta mort, c’est de se rendre compte qu’il n’y a même plus de famille. Il n’y a plus d’amis, il n’y a rien de tout ça. Littéralement, tout mon entourage veut ma mort et veut que je meure d’une overdose. J’ai entendu le directeur de cabinet dire audiblement au téléphone : « Tu vas ovedoser et tu vas mourir. » Et ça, c’est parce que j’ai été sacrifiée par ces gens. Donc tous les jours, ils m’ont sacrifiée. Ils veulent que je meure, ils me mettent dans la souffrance, et moi je suis censée fermer ma gueule.

Non.

Voilà, moi ce que je vais dire. Je ne sais pas qui ça va intéresser, au bout d’un moment je n’ai plus rien à foutre.

Moi, je coupe les ponts avec tout ça. Je suis désolée si vous voulez me juger, il n’y a pas de problème. Je coupe les ponts avec mes parents parce qu’ils m’ont toute ma vie, ils m’ont fait du mal et maintenant je me rends compte qu’ils veulent me tuer.

Je coupe les ponts avec mes parents. Dorénavant, je ne suis plus de la famille.

L’argent que vous utilisiez pour me contrôler, je ne prendrai plus un seul sou, Maman, papa, venant de vous.

Vous n’avez aucune idée de tout le mal qu’ils m’ont fait. Tout le mal que ces gens m’ont fait et continuent de me faire.

Donc pour la campagne, vous voulez vraiment savoir qui je vais voter ?

Je ne voterai pas pour Paul Biya.

Et si j’ai un jour, fait du mal ou été une mauvaise personne envers les Camerounais ou envers qui que ce soit, j’en suis désolée. Et je suis vraiment désolée que c’est ma chair, mon sang, ou la personne qui est censée être mon père, qui fait souffrir toute une nation depuis des années. Malheureusement, il fait aussi souffrir les membres de sa famille.

Malheureusement, moi aujourd’hui, je n’ai plus de famille. Vous voulez tant que je meure, vous voulez tant que je meure d’une overdose. Ne m’appelez plus et je ne prendrai plus un sou de vous, pas un centime. Et dès que je peux, je prends mes clics et mes claques et je déménage.

Et je ne posterai plus sur les réseaux parce que je dois me reconstruire. En gros, les gens, c’est mes parents qui veulent que je meure d’une overdose, c’est mes parents qui veulent ma mort. Ne votez pas Paul Biya, pas par rapport à moi, mais parce que il a fait souffrir assez de gens. C’est tout. J’espère vraiment que il y aura un autre président. Et je ne retirerai pas cette vidéo. »

Nous avons recueilli cette vidéo qu’elle a postée sur son Tiktok, et nous l’avons republiée sur notre chaîne YouTube.

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