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LFC AWARDS 4 : LE PALMARÈS COMPLET

La quatrème nuit des LFC Awards a récompensé « Run » et « The Fisherman’s Diary » comme meilleurs court et long métrage.

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LFC AWARDS PALMARÈS

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La soirée des LFC Awards pour son 4ème acte s’est tenue à Canal Olympia Douala Bessengue le 18 Novembre dernier, avec une retransmission en direct sur Facebook via les pages de l’évènement et du partenaire CRTV. Dans le respect du règlement général de l’évènement, les récompenses ont été largement dominées par les films d’expression anglophone, avec plusieurs prix pour « The Fisherman’s Diary » dont notamment celui de Meilleur Film. Double récompense également pour Frank Thierry Lea Malle, réalisateur de l’excellent long métrage « Innocent(e) » diffusée cette année sur Canal + Afrique. La soirée a été tantôt drôle avec les blagues irrépressibles de Ebenezer Kepombia, inspirante pour son plaidoyer appelant l’Etat à mieux investir dans le cinéma, inspirante avec le touchant message de René Ettat pour la fin de la guerre dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest du Cameroun, où le langage des armes et de la mort est loin d’être fini. Voici le palmarès complet des LFCAwards4 !

Prix d’honneur : Douala Marthe Toto

Prix d’honneur : Honorable Zambo Ntoumba

Prix LFCinéphiles : Muriel Blanche

Prix Métier de l’ombre (à titre posthume): Bertin Ekossono, il était un professionnel de la prise de son.

Prix Métier de l’ombre : Sigala Lovet (Directeur de Production)

Meilleure Actrice dans un Court-Métrage de fiction : Hortavie Mpondo pour son rôle dans The Solo Girl de Dante Fox.

Meilleur Acteur dans court métrage de fiction, Rigo Eshu Tamwa pour son rôle dans Corina de Jean Baptiste Foko

Meilleur Court Métrage de fiction : Run de Rodrigue Fotso

 lfc best short

 Meilleur Scénario de court métrage : Angles de Frank Thierry Lea Malle

Meilleur Documentaire de court métrage : 800 Eyes de Bernadette Fonlon

Meilleur Documentaire Long Métrage : La Mort, Ce Cadeau De Vie, de Madeleine Autet

Meilleure Actrice dans un second rôle long métrage : Damarise Ndamo pour son rôle dans The Fisherman’s Diary de Enah Johnscott

Meilleure Actrice dans un premier rôle : Laura Onyama pour son rôle dans Saving Mbango de Nkanya Nkwai

Meilleur acteur dans un premier rôle, Godisz Fungwa dans Saving Mbango

Meilleur Acteur dans un second rôle long métrage : Samson Vugar dans Where I come From de Takong Delvis Mezzo

Meilleur Scénario de long métrage : Innocent(e) de Frank Thierry Lea Malle

Meilleure image : René Ettat pour le film The Fisherman’s Diary de Enah Johnscott

Meilleur son, Hervé Guémété pour le film Bendskins de Narcisse Wandji

Meilleur costume : Bi France pour le film 4th Generation de Cosson Chinepoh

Meilleur make up : GKI Barbie & Sunshine Chinonso pour le film Saving Mbango

Meilleur Décor : Fokwa Babila pour le film The Fisherman’s Diary de Enah Johnscott

Meilleur Montage : Rodrigue Tchassem pour Bendskins

Meilleur film de long métrage : The Fisherman’s Diary de Enah Johnscott

 lfc best long film

 Visitez la page facebook des LFC Awards pour plus de contenus et d’infos.

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EPOUSTOUFLANTE ENCORE, MIRIAM DU CAMEROUN SE QUALIFIE EN FINALE DE THE VOICE KIDS FRANCE 2025

Miriam Ebah Obama du Cameroun est qualifiée en finale de The Voice Kids France 2025.

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En 2022, elle avait été la gagnante de The Voice Kids Afrique diffusée sur Vox Africa. Le 06 septembre 2025, la très jeune et talentueuse chanteuse d’origine camerounaise a une fois de plus ébloui le public, cette fois-ci sur TF1 en France, avec son impressionnante interprétation du titre « Listen » de Beyoncé, lors des épreuves d’audition à l’aveugle de The Voice Kids France. Tous les coaches se sont alors retournés et elle a finalement opté pour le coach Soprano. Ce samedi 20 septembre, elle a une fois de plus tout cassé en hissant sa performance au dessus du lot des quatre dont elle faisait partie, pour l’épreuve de demie finale dans la team Soprano, dans une interprétation collective d’un titre de NEJ’, invitée par leur coach. Si tout le monde a apprécié l’envolée vocale de Miriam sur la fin de la chanson, ce qui a été un point de différenciation selon les autres coaches, Soprano le lui a reproché, soulignant le fait que ce n’était pas prévu, et qu’elle doit apprendre à respecter les structures recommandées par les coaches. Heureusement ce léger grief n’a pas empêché Soprano de choisir Miriam Ebah Obama pour aller à la finale, qu’elle compte déjà convertir en victoire.

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THOR DE XZAFRANE, DEFTY ET RODZENG : LA PUISSANCE AU BOUT DES MOTS

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« C’est l’histoire d’un lion, d’une panthère et d’un éléphant, qui ont fait l’amour à l’instrumental » pour « faire jouir leurs fans » et « remettre les pendules à l’heure », comme Xzafrane le pitche lui-même dans son couplet d’ouverture. Xzafrane du Cameroun, Rodzeng du Gabon et Defty de la Côte d’Ivoire, trois mcs connus pour leur amour pour le rap à texte, amènent sur la scène urbaine francophone ce nouveau single aussi lourd que le marteau de « Thor ». Un titre puissant, aux contours sonores épiques, ambiance voulue, pour traduire leur prétention à mener la barque dans les eaux troubles du rap. Dès les premières secondes, Thor capte l’attention. La prod, lourde à souhait, signée Igot Beatz, n’essaie pas juste de faire danser, mais à imposer une ambiance, celle du message que viennent dérouler les deux fauves d’Afrique Centrale et le pachyderme ouest-africain. Thor évoque immédiatement la figure mythologique notamment véhiculée par les fables cinéma de Marvel — symbole de force, de foudre, de puissance invincible. Et le clip de Rodrigue Mbida qui voyage dans les esthétiques urbaines de Yaoundé, Libreville et Abidjan, veut traduire l’esprit du titre.

Toujours plus de place pour le message

L’usage du nom « Thor » n’est pas anodin : il sert de métaphore à la résistance, à la capacité à surmonter les obstacles. Defty et Rodzeng apportent chacun leur grain de vérité, leurs contrastes dans le flow, rendant le récit plus riche. Les paroles alternent entre la revendication (« je veux qu’on m’écoute », ou des assertions qui refusent la faiblesse) et la prise de conscience des luttes vécues. Il y a une quête de reconnaissance, non seulement pour soi-même, mais aussi pour une communauté. Le tout est exprimé avec une énergie brute, sans fard. Le morceau se veut même dense, voire touffu à certains endroits. Pourtant le titre, par l’animation visuelle proposée dans le clip et par la vibe hip hop globale, se veut quand même dansant. Ce choix esthétique de densité revendique-t-il leur style traditionnel hardcore qui donne toute la place aux textes, quitte à faire trop rempli, à contre-courant d’une époque où les titres rap à la mode sont dépouillés et mélodieux ? Le leitmotiv semble est inchangé pour les trois kickeurs en tout cas : rester authentiques quoi qu’il en coûte, rester déterminés et « ramener l’or tant qu’on n’est pas rouillés ».

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MUSIQUE : GAELLE WONDJE CÉLÈBRE 20 ANS DE CARRIERE ET DEVOILE SON TROISIEME ALBUM « MUKATI »

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Le 11 novembre 2025 à 19h00, l’ONOMO Hôtel de Bonanjo à Douala accueillera une soirée exceptionnelle dédiée à la musique camerounaise. La chanteuse Gaëlle Wondje va  célébrer ses 20 ans de carrière par un concert unique et la présentation officielle de son troisième album solo, intitulé « Mukati ».

Une voix née de la passion

Née à Nanga Eboko, Gaëlle Wondje grandit dans un univers musical fortement influencé par son père guitariste. Dès le lycée puis à l’Université de Buea, elle développe une identité vocale singulière qui lui ouvre les portes des grandes scènes. Choriste auprès de figures de renom telles que Manu Dibango, Etienne Mbappé ou encore Charlotte Dipanda, elle affine progressivement son style, entre jazz, afro-fusion et rythmes traditionnels.

Des débuts discographiques marquants

En 2011, la chanteuse lance son premier album, « M comme Aimer », qui explore l’amour à travers des sonorités variées allant du reggae au bikutsi. Ce projet l’installe comme une voix émergente de la scène musicale camerounaise.

Six ans plus tard, en 2017, elle revient avec « Ening » qui signifie « la vie » en beti, un album où se croisent jazz, rock et musiques traditionnelles. Cet opus, salué par les critiques, confirme sa volonté de créer des ponts entre modernité et héritage culturel. En 2019, au Marché International du Disque et de l’Édition Musicale (MIDEM)  de Cannes, elle rencontre l’artiste musicien belge Artibano. De là naîtra une collaboration qui se concrétise dans un album, « Juste Une Etincelle » où elle chante des classiques d’Artibano.

Célébrer le patrimoine musical camerounais à travers le jazz

En 2021 elle initie « LES MERCREDIS JAZZ DE GAELLE WONDJE », un évènement qui se déroule alors dans un cabaret de la ville de Douala. De l’expérience de ces « MERCREDIS JAZZ DE GAELLE WONDJE » naît un solide groupe de jazz avec Gaelle Wondje : « JAZZSTELLATION » ou elle évolue avec Samy Mahop au clavier, Haoussa Drums à la batterie, Patrick Tawembe à la basse et Fobert Wanja au saxophone. Avec comme projet axial « KAMER STANDARDS », qui consiste à reprendre les grands classiques du patrimoine musical camerounais en jazz, pour à la fois amener ces musiques vers le public du jazz dans le monde, mais aussi populariser au Cameroun le jazz, une musique trop souvent considérée comme élitiste par la majorité. L’album du projet est sorti en 2022 et ensemble ils ont déjà participé à divers évènements nationaux et internationaux, comme les Journées Musicales de Carthage en Tunisie en janvier 2025. En 2023 elle participe à une résidence de création à Montréal Canada initiée par l’AFROPOLITAN NOMAD FESTIVAL, et à Douala au Up high Lab où avec Danielle Eog, elle revisite le riche répertoire de Anne Marie Nzie, pour aboutir sur l’album Les Déesses. Le 29 août 2024, avec le groupe « Gaelle Wondje Quartet » formé avec 4 des cinq membres du collectif Jazztellation, elle s’envole pour trois mois de tournée en Chine, soit 78 dates, grâce à Yari Productions, le Douala Music Art Festival et le Conseil Camerounais de la Musique. Le 04 Mai 2025, elle était sur la scène de l’Olympia de Paris, comme guest artist amenée par Ben Decca pour son concert produit par Mastatik Records.

Elle est depuis janvier 2024 Présidente Fondatrice de l’association PRODE pour la protection et l’éducation de l’enfant par les arts, et CEO et Directrice Artistique du FEJAMAC (festival de jazz et musiques actuelles du Cameroun).

Mukati, un tournant artistique

Avec « Mukati », Gaëlle Wondje veut signer une œuvre résolument ancrée dans son temps tout en restant fidèle à ses racines. À travers ce projet, l’artiste met en avant la résilience et la force intérieure, tout en mêlant jazz, influences camerounaises et touches contemporaines. Avant sa célébration des vingt ans de carrière au Onomo Hotel Douala, elle sortira l’album Mukati le 01er novembre.

Yannick Fomeyo

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