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NOUVEAU SINGLE : RICHARD BONA INVITE OUMOU SANGARE POUR CELEBRER L’AFRIQUE

Duruu Wakani c’est le titre de la chanson sortie ce 27 Mai.

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C’est dans un live facebook sur sa page que le célèbre bassiste et chanteur d’origine Camerounaise, l’a annoncé lundi soir, il sort un nouveau titre ce 27 Mai 2022. Et « bonne nouvelle » selon lui-même, ce sera en featuring avec Oumou Sangare, la star malienne, reine du Wassoulou, le genre musical qu’elle pratique, et qui est commun à plusieurs pays du sahel ouest africain. Le morceau est intitulé Duuru Wakani, et le Ninja natif de Minta dans l’Est du Cameroun, en parle comme de la 9ème page du livre de sa vie, qui sera marqué par un nouveau style. Depuis Heritage, il n’avait pas sorti d’album, proposant de temps à autre des titres engagés collés à l’actualité, comme l’hilarant « Allo Fokou », le mélancolique « Ngarbuh », ou encore « Afreekha ». Derrière ce nouveau single, on s’attend peut-être à la sortie prochaine du 9ème album studio du jazzman qui a gagné le coeur du monde depuis 1999 avec son premier opus « Scenes From My Life », et qui est managé depuis quelques années par un certain Quincy Jones, l’homme qui a lancé la carrière de Michael Jackson ! Il  accorde une attention particulière au titre qu’il sort avec Oumou Sangare, surtout que le morceau est issu de la kyrielle de chansons qu’il dit avoir enregistrées pendant la période de confinement dû au COVID en 2020 : « dans mon studio chez moi à Miami, j’écrivais un morceau chaque jour ; j’ai déjà mixé à ce jour 102 chansons en tout, écrites et composées durant cette période-là » explique le virtuose qui est désormais en production indépendante. Il précise qu’il y a parmi, un lot important de collaborations qui sortiront au fur et à mesure. On se souvient qu’à cette époque là il avait posté par exemple une photo d’une séance studio avec la popstar nigériane Tiwa Savage

Depuis 00H ce 27 Mai, la chanson est enfin disponible sur toutes les plateformes. Le clip tourné en partie à Miami met en avant une danseuse professionnelle, avec une forte présence de l’animation 3D, qui fait apparaître Oumou Sangare en mode cartoon, et représente à l’écran plusieurs symboles de la culture africaine. 

« La vidéo officielle de Duuru Wakani s’inspire des racines africaines auxquelles les deux artistes sont si liés et rend hommage à la mère patrie. Vous pouvez également entendre des saveurs des Caraïbes et beaucoup d’esprit Duuru Wakani. Plongez dans un monde imaginaire de danse, de vibrations Afrobeat et de groove de bien-être » peut-on lire dans le pitch de présentation du clip sur YouTube.

Richard Bona apparaît brièvement : « J’étais en tournée au moment du tournage, j’ai laissé travailler une équipe dynamique de jeunes, qui se sont arrachés à fond pour faire ce travail » avait-il justifié dans son live Facebook. 

A l’écoute du morceau, on retrouve une vibe certes jazzy, mais une bonne coloration afrobeats, avec une vibe carribéenne. D’ailleurs ce choix est assumé puisque le titre est catégorisé « Afrobeats Vibes » sur les plateformes. Les ingrédients qui invitent à la danse ne se cachent pas. Il y a même des incursions de toast ragga-dancehall. On comprend mieux pourquoi il parlait de « nouveau style ».

<a href="https://www.youtube.com/watch?v=HxN3BnUa3sw">https://www.youtube.com/watch?v=HxN3BnUa3sw  

Ce morceau ne sera pas le premier point commun entre les deux ambassadeurs de la musique et de la culture africaines. En 2009, les deux avaient participés au projet « Throw Down Your Heart : The Complete Africa Sessions » du musicien américain Bela Flick, qui y avait également associé d’autres grands noms comme le sénégalais Baaba Maal, ou encore le malien Toumani Diabate, entre autres.

Un autre point commun entre Richard Bona et Oumou Sangare c’est les Grammy Awards, les plus prestigieuses récompenses de la musique aux Etats-Unis. En effet, en 2010, la Reine du Wassoulou a participé à l’enregistrement de l’album « The Imagine Project » de Herbie Hancock, notamment le titre « Imagine », avec d’autres artistes comme P!nk, Seal, India Arie, Jeff Beck, Konono, Tony Allen. Le projet a gagné 2 grammy awards, dans les catégories « Best Pop Collaboration With Vocals » et Best Improvised Jazz Solo – A Change Is Gonna Come ». Aussi, « Diaraby Nene », une de ses chansons phares, sortie en 1988 et reprise dans son disque « Acoustic« , a été samplée par la chanteuse américaine Beyoncé sur son titre « Mood for Eva » pour l’album « The Lion King The Gift« , inspiré du film Le Roi Lion. L’album a eu plusieurs nominations aux Grammy Awards en 2019.

En 2003, Richard Bona a participé à l’album « Speaking Of Now » du groupe Pat Metheny. L’album a enregistré 2 nominations, dont une Victoire, notamment comme meilleur album de jazz. L’année d’après en 2004, Richard Bona est une nouvelle fois nommé aux Grammy Awards pour son album Tiki, dans la catégorie Best contemporary world music album. Ce qui lui fait en tout 3 nominations pour 1 victoire.

Nous avons déjà mis dans nos playlists du week-end ce titre diffusé ce vendredi dans « Le Bon As Radio » sur Sweet FM !

 

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EPOUSTOUFLANTE ENCORE, MIRIAM DU CAMEROUN SE QUALIFIE EN FINALE DE THE VOICE KIDS FRANCE 2025

Miriam Ebah Obama du Cameroun est qualifiée en finale de The Voice Kids France 2025.

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En 2022, elle avait été la gagnante de The Voice Kids Afrique diffusée sur Vox Africa. Le 06 septembre 2025, la très jeune et talentueuse chanteuse d’origine camerounaise a une fois de plus ébloui le public, cette fois-ci sur TF1 en France, avec son impressionnante interprétation du titre « Listen » de Beyoncé, lors des épreuves d’audition à l’aveugle de The Voice Kids France. Tous les coaches se sont alors retournés et elle a finalement opté pour le coach Soprano. Ce samedi 20 septembre, elle a une fois de plus tout cassé en hissant sa performance au dessus du lot des quatre dont elle faisait partie, pour l’épreuve de demie finale dans la team Soprano, dans une interprétation collective d’un titre de NEJ’, invitée par leur coach. Si tout le monde a apprécié l’envolée vocale de Miriam sur la fin de la chanson, ce qui a été un point de différenciation selon les autres coaches, Soprano le lui a reproché, soulignant le fait que ce n’était pas prévu, et qu’elle doit apprendre à respecter les structures recommandées par les coaches. Heureusement ce léger grief n’a pas empêché Soprano de choisir Miriam Ebah Obama pour aller à la finale, qu’elle compte déjà convertir en victoire.

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THOR DE XZAFRANE, DEFTY ET RODZENG : LA PUISSANCE AU BOUT DES MOTS

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« C’est l’histoire d’un lion, d’une panthère et d’un éléphant, qui ont fait l’amour à l’instrumental » pour « faire jouir leurs fans » et « remettre les pendules à l’heure », comme Xzafrane le pitche lui-même dans son couplet d’ouverture. Xzafrane du Cameroun, Rodzeng du Gabon et Defty de la Côte d’Ivoire, trois mcs connus pour leur amour pour le rap à texte, amènent sur la scène urbaine francophone ce nouveau single aussi lourd que le marteau de « Thor ». Un titre puissant, aux contours sonores épiques, ambiance voulue, pour traduire leur prétention à mener la barque dans les eaux troubles du rap. Dès les premières secondes, Thor capte l’attention. La prod, lourde à souhait, signée Igot Beatz, n’essaie pas juste de faire danser, mais à imposer une ambiance, celle du message que viennent dérouler les deux fauves d’Afrique Centrale et le pachyderme ouest-africain. Thor évoque immédiatement la figure mythologique notamment véhiculée par les fables cinéma de Marvel — symbole de force, de foudre, de puissance invincible. Et le clip de Rodrigue Mbida qui voyage dans les esthétiques urbaines de Yaoundé, Libreville et Abidjan, veut traduire l’esprit du titre.

Toujours plus de place pour le message

L’usage du nom « Thor » n’est pas anodin : il sert de métaphore à la résistance, à la capacité à surmonter les obstacles. Defty et Rodzeng apportent chacun leur grain de vérité, leurs contrastes dans le flow, rendant le récit plus riche. Les paroles alternent entre la revendication (« je veux qu’on m’écoute », ou des assertions qui refusent la faiblesse) et la prise de conscience des luttes vécues. Il y a une quête de reconnaissance, non seulement pour soi-même, mais aussi pour une communauté. Le tout est exprimé avec une énergie brute, sans fard. Le morceau se veut même dense, voire touffu à certains endroits. Pourtant le titre, par l’animation visuelle proposée dans le clip et par la vibe hip hop globale, se veut quand même dansant. Ce choix esthétique de densité revendique-t-il leur style traditionnel hardcore qui donne toute la place aux textes, quitte à faire trop rempli, à contre-courant d’une époque où les titres rap à la mode sont dépouillés et mélodieux ? Le leitmotiv semble est inchangé pour les trois kickeurs en tout cas : rester authentiques quoi qu’il en coûte, rester déterminés et « ramener l’or tant qu’on n’est pas rouillés ».

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MUSIQUE : GAELLE WONDJE CÉLÈBRE 20 ANS DE CARRIERE ET DEVOILE SON TROISIEME ALBUM « MUKATI »

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Le 11 novembre 2025 à 19h00, l’ONOMO Hôtel de Bonanjo à Douala accueillera une soirée exceptionnelle dédiée à la musique camerounaise. La chanteuse Gaëlle Wondje va  célébrer ses 20 ans de carrière par un concert unique et la présentation officielle de son troisième album solo, intitulé « Mukati ».

Une voix née de la passion

Née à Nanga Eboko, Gaëlle Wondje grandit dans un univers musical fortement influencé par son père guitariste. Dès le lycée puis à l’Université de Buea, elle développe une identité vocale singulière qui lui ouvre les portes des grandes scènes. Choriste auprès de figures de renom telles que Manu Dibango, Etienne Mbappé ou encore Charlotte Dipanda, elle affine progressivement son style, entre jazz, afro-fusion et rythmes traditionnels.

Des débuts discographiques marquants

En 2011, la chanteuse lance son premier album, « M comme Aimer », qui explore l’amour à travers des sonorités variées allant du reggae au bikutsi. Ce projet l’installe comme une voix émergente de la scène musicale camerounaise.

Six ans plus tard, en 2017, elle revient avec « Ening » qui signifie « la vie » en beti, un album où se croisent jazz, rock et musiques traditionnelles. Cet opus, salué par les critiques, confirme sa volonté de créer des ponts entre modernité et héritage culturel. En 2019, au Marché International du Disque et de l’Édition Musicale (MIDEM)  de Cannes, elle rencontre l’artiste musicien belge Artibano. De là naîtra une collaboration qui se concrétise dans un album, « Juste Une Etincelle » où elle chante des classiques d’Artibano.

Célébrer le patrimoine musical camerounais à travers le jazz

En 2021 elle initie « LES MERCREDIS JAZZ DE GAELLE WONDJE », un évènement qui se déroule alors dans un cabaret de la ville de Douala. De l’expérience de ces « MERCREDIS JAZZ DE GAELLE WONDJE » naît un solide groupe de jazz avec Gaelle Wondje : « JAZZSTELLATION » ou elle évolue avec Samy Mahop au clavier, Haoussa Drums à la batterie, Patrick Tawembe à la basse et Fobert Wanja au saxophone. Avec comme projet axial « KAMER STANDARDS », qui consiste à reprendre les grands classiques du patrimoine musical camerounais en jazz, pour à la fois amener ces musiques vers le public du jazz dans le monde, mais aussi populariser au Cameroun le jazz, une musique trop souvent considérée comme élitiste par la majorité. L’album du projet est sorti en 2022 et ensemble ils ont déjà participé à divers évènements nationaux et internationaux, comme les Journées Musicales de Carthage en Tunisie en janvier 2025. En 2023 elle participe à une résidence de création à Montréal Canada initiée par l’AFROPOLITAN NOMAD FESTIVAL, et à Douala au Up high Lab où avec Danielle Eog, elle revisite le riche répertoire de Anne Marie Nzie, pour aboutir sur l’album Les Déesses. Le 29 août 2024, avec le groupe « Gaelle Wondje Quartet » formé avec 4 des cinq membres du collectif Jazztellation, elle s’envole pour trois mois de tournée en Chine, soit 78 dates, grâce à Yari Productions, le Douala Music Art Festival et le Conseil Camerounais de la Musique. Le 04 Mai 2025, elle était sur la scène de l’Olympia de Paris, comme guest artist amenée par Ben Decca pour son concert produit par Mastatik Records.

Elle est depuis janvier 2024 Présidente Fondatrice de l’association PRODE pour la protection et l’éducation de l’enfant par les arts, et CEO et Directrice Artistique du FEJAMAC (festival de jazz et musiques actuelles du Cameroun).

Mukati, un tournant artistique

Avec « Mukati », Gaëlle Wondje veut signer une œuvre résolument ancrée dans son temps tout en restant fidèle à ses racines. À travers ce projet, l’artiste met en avant la résilience et la force intérieure, tout en mêlant jazz, influences camerounaises et touches contemporaines. Avant sa célébration des vingt ans de carrière au Onomo Hotel Douala, elle sortira l’album Mukati le 01er novembre.

Yannick Fomeyo

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